LES PRÉOCCUPATIONS DES FRANÇAIS – VAGUE 2

 


 

Les Français se sentent-ils en insécurité ? A quelle occasion ? Font-ils confiance à la police pour résoudre les problèmes d’insécurité ?
Découvrez les réponses à ces questions dans la nouvelle vague du baromètre des préoccupations des Français, réalisé pour Orange.

 Près d’un Français sur deux (45%) se sent en insécurité souvent ou de temps en temps, notamment les personnes âgées de 50 ans et plus et celles habitant dans des agglomérations de plus de 100.000 habitants

• Les parkings (53%) et les transports en commun (49%) sont les lieux où les Français (et notamment les femmes) se sentent le plus en insécurité, devant les lieux publics (45%), la rue (43%) ou les gares et aéroports (43%).

• Un sentiment d’insécurité probablement accru par la confrontation à des incivilités (63% des Français en ont subi au cours de l’année passée), à des agressions verbales (46%) ou à des nuisances de voisinage (42%). Un Français sur dix a également été confronté récemment à un vol ou un cambriolage (14%) ou une agression physique (10%).

• L’insécurité : un sujet dont on ne parle pas assez (44%) et des problèmes sous-estimés (52%) pour de nombreux Français. Un sentiment particulièrement développé chez les sympathisants de droite et du FN.

• La menace terroriste (61%) et les agressions physiques (61%) sont, de loin, les principales sources d’inquiétude dans le domaine de la sécurité, devant les cambriolages (37%, 53% chez les personnes âgées), le vandalisme (35%), les agressions sexuelles (32%, 41% chez les femmes), la délinquance routière (29%) et les vols (25%).

• Une confiance majoritaire mais limitée dans la police : 56% lui font confiance pour résoudre les problèmes d’insécurité, mais 42% n’ont pas confiance, notamment les jeunes (57%), les personnes appartenant aux catégories sociales modestes (54%), les sympathisants de gauche (51%) et ceux du Front national (49%).

• La « police de sécurité du quotidien » du Gouvernement va selon les Français permettre d’améliorer les relations entre les policiers et la population (66%). Les interviewés sont un peu moins convaincus de la capacité du dispositif à faire baisser l’insécurité (51%).